MÉDICO-SOCIAL
73. Être particulièrement vigilant sur la
possibilité, pour les agents de l'établissement, passé aux RCE, de demeurer
éligibles aux prestations sociales interministérielles (chèques vacances, CESU,
garde d’enfant, etc.).
74. Défendre le principe d’une augmentation des
taux des prestations pour tenir compte de la baisse du pouvoir d’achat des
agents et du coût de la vie.
75. Consulter plus fréquemment le CHSCT, et prendre
en compte immédiatement ses recommandations et ses préconisations.
75bis. Mettre en place des moyens suffisants pour
assurer leurs missions et la formation des membres des CHSCT.
75ter. Valoriser et reconnaître le rôle des assistants
de prévention (agents chargés de la mise en œuvre des règles d’hygiène et de
sécurité). Les personnels Assistants de Prévention, qu’ils soient issus des
enseignants ou des BIATSS, doivent voir leurs fonctions reconnues au niveau
indemnitaire.
76. Permettre au service de médecine de prévention
d’examiner, au moins une fois par an, les personnels qui s’exposent à plus de
risques ou ayant besoin d’un suivi particulier.
76bis. Instaurer un lien fort entre les services de ressources
humaines de l’université et la médecine de prévention, notamment pour la
connaissance réciproque de tous les accidents et arrêts maladie.
76ter. Apporter une attention particulière à la lecture
et à l’analyse du « bilan annuel d’activité de la médecine de prévention » de
notre établissement.
77. Assurer la présence de personnels spécialisés
(médecins, infirmiers et personnels sociaux) sur les sites délocalisés
également. Il peut s’agir notamment d’établir des conventions avec les
associations de médecine du travail sur chaque site.
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